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Une nouvelle fois Amnesty International épinglé pour diffusion de fausses informations

Après le Maroc, Israël, c’est au tour de l’Ethiopie de renvoyer Amnesty International à ses chères études en raison de son manque d’objectivité et de ses conclusions boiteuses n’ayant aucune crédibilité.

Ce coup retentissant est venu directement du Procureur fédéral éthiopien lequel a rejeté sèchement, le 18 juillet 2020, le rapport de cette ONG à deux sous, qu’est Amnesty International, publié le 20 mai 2020 sous le fumeux titre « Au-delà de l’application de la loi : violations des Droits Humains par les forces de sécurité éthiopiennes à Amhara et Oromia ».

Mieux, dans une déclaration faite le 18 juillet 2020, le Procureur fédéral éthiopien a indiqué qu’il avait constitué un comité composé des bureaux des Procureurs des régions d’Amhara et d’Oromia, de la police, des universités et des organisations de la société civile pour enquêter sur la crédibilité des violations présumées des Droits de l’Homme, évoquées dans le rapport qui n’ont abouti en raison du mensonge d’Amnesty International.

De plus, les rapports sulfureux d’Amnesty International sont de plus en plus contestés par plusieurs pays en voie de développement, dont le Maroc.

Avec une stratégie démoniaque, Amnesty International a tenté d’entraîner le Maroc dans un labyrinthe d’intérêts en l’utilisant pour attaque Israël et les intérêts du groupe NSO comme à son habitude pour prendre en otage des pays dans de lâches opérations d’extorsions.

Il est incontestable qu’Amnesty International défend une conception des Droits de l’Homme à géométrie variable et qu’elle fait la belle devant les intérêts britanniques et américains.

A ce sujet, de nombreuses voix commencent à s’élever au Maroc pour traduire Amnesty International devant la justice pour diffamation et la loi britannique Defamation Act de 2013 le permettait aisément.

Le droit anglais tient compte également de« l’impression que la diffamation est susceptible de faire sur les personnes qui la lisent ». Or, les accusations d’espionnage publiés par Amnesty International et reprises par un consortium de journaux ont porté préjudice à l’image du Maroc.

Quoiqu’il en soit, au-delà de la compensation financière, gagner ce procès permettra à la fois de discréditer Amnesty International et ses rapports et revaloriser l’image du Maroc vis-à-vis de l’opinion internationale.

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