Santé – Cancer du sein : Sucer les seins de sa partenaire peut réduire l’apparition de la maladie
Le cancer du sein est le 1er cancer chez la femme après 45 ans en termes de mortalité et de nouveaux cas détectés. En matière de prévention, il est rappelé que l’on peut réduire le risque en modifiant simplement quelques habitudes de la vie quotidienne. Un peu moins d’alcool, un peu plus de sport et la main légère sur les acides gras. Une autre étude digne de foi relève que faire sucer régulièrement les seins est aussi un acte de prévention contre la maladie.
Les preuves s’accumulent sur les effets préventifs de l’allaitement, dans la prévention du cancer du sein. Le dernier rapport du Fonds mondial de recherche contre le cancer note un effet positif, plus net lorsqu’il dure au moins six mois.
Une explication possible est que lorsqu’on allaite, la production d’œstrogène diminue. Par ailleurs, l’allaitement termine la maturation des cellules mammaires, autre facteur protecteur.
Conviant les partenaires à s’impliquer également dans la lutte, Mary Azika, sage-femme de profession, dans la région de Upper East au Ghana, a conseillé aux hommes de sucer les seins de leurs partenaires régulièrement pour aider les femmes à diminuer les risques de cancer du sein.
En guise de conseil, la sage-femme a dit ceci : « la meilleure façon d’éviter le cancer du sein est d’encourager l’allaitement maternel. Le bébé peut téter, votre mari peut aussi le faire. Les hommes peuvent examiner les seins de leurs femmes et petites amies. Ne laissez pas votre femme avoir un cancer du sein. La succion de la poitrine est très bien ».
Il est vrai que de nombreux hommes se détournent de la succion des seins de leur partenaire, quand ceux-ci deviennent flasques, surtout après des maternités répétées.
Désormais, s’en contenter est bien une question de vie ou de mort, pour celle qu’on dit toujours aimer.
Le dicton ne dit-il pas : « les seins des femmes c’est comme les trains électriques. C’est fait pour les enfants mais ce sont les papas qui s’amusent avec ».
Bertrand BOUKAKA/Les Échos du Congo-Brazzaville