PSG: Lionel Messi juge la circulation « insupportable » à Paris
Meguetan Infos
La star du Paris Saint Germain donne ses impressions sur son arrivée dans la capitale française. Au journal Sport, il a dit comment il a été difficile pour lui de s’adapter au train de vie parisien. Une chose en particulier le déplait: c’est la circulation dans le centre-ville.
Tout nouveau départ a son lot de mélancolie et de frustrations. Lionel Messi au PSG n’y échappe pas. Il confie qu’il a vecu des moments difficiles à son arrivée à Paris. Le changement de ville et de standing n’ont pas été faciles. Messi en livre les points saillants sans faux fuyants.
« Les mauvais moments étaient au début, quand tout était soudain, venir ici, passer un mois et demi à l’hôtel et ce n’est pas facile de le faire avec les garçons, qui avaient déjà commencé l’école, énumère-t-il. Nous étions dans le centre (de Paris) et cela rendait la circulation insupportable. Il nous fallait une heure pour aller à l’école et une heure pour l’entraînement. Les enfants n’en pouvaient plus d’être à l’hôtel. C’était difficile. En même temps, nous avons essayé de profiter de l’expérience de la ville, de tout connaître un peu jusqu’à notre retour à la maison. Cela a tout amélioré« , raconte Lionel Messi.
Mais, les choses semblent rentrer dans l’ordre avec le temps. En effet, depuis Lionel Messi et sa famille ont emménagé dans une luxueuse villa à Neuilly-sur-Seine. Même si Messi reconnait que ce n’est pas encore la grande ambiance et le confort barcelonais qu’il a dégusté pendant 21 ans.
« A Castelldefels, nous avions nos habitudes, souligne-t-il. Tout était facile, proche. J’emmenais les enfants à l’école, je venais, je m’entraînais, je rentrais manger chez moi, je récupérais les enfants. Aujourd’hui, je ne peux pas aller chercher les enfants à l’école et aller à l’entraînement. Personnellement, j’aime être à la maison. A Barcelone, je ne sortais pas beaucoup non plus. Pour les enfants et Antonella, cela a été le plus grand changement parce qu’ils étaient souvent dans la rue, avec des amis, faisaient des choses. Les copains rentraient tout le temps à la maison. Maintenant, ils se font juste des amis et s’adaptent à la ville. Je pense que c’était le plus grand changement pour eux. ». Caprice de riches ?
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