” Ce qui ne peut être prouvé ne peut être retenu contre l’accusé”, explique un proverbe populaire. Cette assertion sied au cas de l’honorable Mohamed Ould Mataly, chef de la tribu ‘’Lamhar’’ et non moins député élu à Bourem. Depuis bientôt deux ans, il est vilipendé et accusé par un fameux comité dit des experts commis par l’ONU. Accusé de trafic de drogue et d’accointances avec certains milieux mafieux, le député, à qui ces allégations font un sourire, reste imperturbable. Car, en paix avec sa conscience. Son seul souci est qu’au-delà de ces ignominies, c’est l’honneur de toute une communauté qui est jetée en pâture et celle du Mali avec.
Ce n’est nullement étonnant qu’il soit vilipendé, parce que sa détermination à préserver la paix et la cohésion dans le Nord contre les forces du mal restent inébranlables.
” On accuse Dieu du mal causé par ses propres mensonges “, affirme un proverbe africain. Son apport pour le retour de la paix après la crise de 2012 est connu de tous. Ceux qui voient en lui une menace pour l’accomplissement de leurs desseins inavoués dans le septentrion malien sont connus de tous. L’honorable Lamhar ne traitera jamais avec des personnes qui ont un agenda autre que celui de maintenir la cohésion entre les populations du Mali. Au service exclusif de sa communauté et des populations durement éprouvées par la crise sécuritaire et laissées pour compte, Ould Mataly a mieux à faire que de prêter le flanc à des ragots de bas étages.
Aussi, s’il est coupable de tant de délits, ses détracteurs doivent forcément avoir des preuves autres qu’un lynchage médiatique. Faute de preuve contre lui, il ne leur reste que la voie de la diffamation. Mais cela ne saurait ébranler les convictions du député de Bourem pour un Mali uni et réconcilié.
” Pour une ligne droite mal tracée, on accuse la lame de scie d’être déréglée. ” Cette stratégie est bien connue d’être la marque de fabrique des lâches.
Dieu veille !
