Les dangers de la corruption en Afrique sont multiples et touchent toutes les facettes de la société. La lutte contre la corruption nécessite un effort global et concerté de la part du gouvernement et de la société civile. La mise en œuvre de mesures anti-corruption robustes, le renforcement des institutions et la promotion de la transparence sont des étapes cruciales vers la construction d’un avenir plus juste, plus équitable et plus prospère pour les peuples d’Afrique.
Transparency International, un mouvement mondial œuvrant dans plus de 100 pays pour mettre fin à l’injustice de la corruption, dont les données sont basées sur cette liste, a déclaré que « là où la corruption est la norme, les personnes vulnérables ont un accès restreint à la justice tandis que les riches et les puissants s’emparent de l’ensemble de la justice ». systèmes, au détriment du bien commun.
Selon l’Indice de perception de la corruption (CPI) de Transparency International, les deux tiers des pays dans le monde sont confrontés à une forme ou une autre de problème de corruption.
Un certain nombre de ces pays sont africains, car le continent continue de lutter contre la corruption.
L’IPC de Transparency International classe 180 pays et territoires à travers le monde selon leur niveau perçu de corruption dans le secteur public, sur une échelle de 0 (très corrompu) à 100 (très propre).
Même si l’Afrique du Nord a fait quelques progrès dans la lutte contre la corruption au fil des années, l’Afrique subsaharienne conserve l’indice de corruption le plus bas de toutes les régions. Contre une moyenne mondiale de 43, l’Afrique subsaharienne en compte en moyenne 33.
