La Justice espagnole intraitable sur les violations des Droits Humains commis par les dirigeants polisariens, en tête de liste Brahim Ghali.
La terrible nouvelle venue d’Espagne est tombée comme un glaive sur la tête nombre de dirigeants polisariens, dont le tueur et violeur Brahim Ghali.
En effet, les juges espagnols ont décidé de poursuivre leurs enquêtes sur les violations des Droit de l’Homme, objets de plaintes contre plus d’une vingtaine de polisariens, dont leur mentor, Brahim Ghali, ainsi en a décidé la Chambre Pénale de l’Audience Nationale espagnole, compétente en matière de crimes graves, tels le terrorisme, le génocide ou la torture.
Ainsi, la Chambre Pénale de l’Audience Nationale espagnole a décidé de poursuivre, jusqu’à août 2021, ses investigations dans ce dossier les enquêtes qui concernent des accusés nominativement cités par de nombreuses victimes contre des dirigeants séparatistes ainsi que des officiers de l’armée algérienne.
Cette prolongation des investigations a été exigée par leParquet Général espagnol, qui a reconnu que les faits reprochés aux dirigeants du polisario sont punissables et nécessitent une enquête à l’étranger.
Une façon de dire que l’obstacle qui s’oppose actuellement à cette démarche est celui de l’impossibilité d’entendre les 29 criminels coupables de violations des Droits de l’Homme dans les camps de la mort de Tindouf, dont Brahim Ghali, l’actuel pseudo chef du polisario, et plusieurs de ses lieutenants, comme Bachir Mustapha Sayed, Jandoud Mohamed, Sid Ahmed Batal et qui profitent de la protection lamentable et écoeurantedes autorités algériennes.
Des crimes récemment confirmés par l’un des principaux accusés, à savoir Bachir Mustapha Sayed, frère cadet du premier soi-disant chef du polisario, El-Ouali Mustapha Sayed, qui, en octobre 2019, a reconnu ouvertement avoir commis de nombreux assassinats et crimes de tortures à l’encontre des prisonniers sahraouis marocains durant les années 1980 et 1990, du temps où il était le patron du service de la bastonnade polisarienne sous la houlette de Mohamed Abdelaziz El Marrakchi.
Bachir Mustapha Sayed a ainsi affirmé, dans un enregistrement vocal relayé sur les réseaux sociaux, que des « crimes et dépassements graves ont été commis contre des Sahraouis marocains et autres anciens dirigeants du polisario, et que les responsables impliqués dans ces exactions regrettent aujourd’hui leurs méfaits, demandent d’ouvrir une nouvelle page et d’oublier le passé ».
Mea culpa ou preuves à charge, cet enregistrement a enfoncé davantage les dirigeants du polisario, dont aucun ne peut aujourd’hui prendre le risque de voyager en Europe sous peine d’être arrêté par les autorités du pays dans lequel ils viennent de fouler le sol avec leurs godasses crottées et puantes.