La Côte d’Ivoire veut multiplier par trois sa production d’huile de palme et devenir le premier producteur du continent. RFI/David Baché
Par :
David Baché
Des formations pour les petits producteurs d’huile de palme, c’est comme cela que la Côte d’Ivoire compte devenir le premier producteur africain de cette huile végétale la plus consommée dans le monde.
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Le pays pèse peu, face aux géants asiatiques du secteur, mais il affiche de grandes ambitions : multiplier par trois sa production, sans toucher à ses forêts. Car l’huile de palme est décriée dans le monde entier pour ses ravages environnementaux et la Côte d’Ivoire a déjà perdu 90 % de ses forêts depuis les années 1960.
La Côte d’Ivoire peut-elle devenir le géant africain de l’huile de palme durable ?
Réalisation : Ewa Piedel
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Formation dispensée aux producteurs villageois d’huile de palme de Kofikro, en janvier 2020.Ces cultivateurs de la coopérative Cooptosa sont impliqués dans le processus RSPO.Un processus de production dite «durable» d’huile de palmeL’objectif premier est d’augmenter leurs rendements sans étendre leurs parcelles.Plus de 60% de la production ivoirienne d’huile de palme est issue des plantations villageoises.Sifca est le premier producteur d’huile de palme de Côte d’Ivoire et d’Afrique de l’ouest.Le directeur du site de Toumanguié: Hilaire TanohPépinière du site de Toumanguié, en janvier 2020.Ces plants sont destinés aux cultivateurs villageois qui fournissent l’usine de Toumanguié, en janvier 2020.Pépinière du site de Toumanguié, en janvier 2020.Cargaison de régimes de palmiers à huile sur le site de Toumanguié.Devant l’usine de transformation du site de Toumanguié.De la culture du palmier à la mise en bouteille, l’huile de palme nécessite plusieurs étapes de transformation.De la culture du palmier à la mise en bouteille, l’huile de palme nécessite plusieurs étapes de transformation.
Formation dispensée aux producteurs villageois d’huile de palme de Kofikro, en janvier 2020. © RFI/David Baché
