Malgré les nombreux cas de décès causés par la migration irrégulière, des personnes continuent la mer et le désert, au péril de leur vie.
Selon l’Organisation internationale pour les migrations (Oim) au moins 20 migrants ont perdu la vie dans le désert libyen. L’Oim déplore et renouvelle son appel à une action plus forte pour protéger les migrants le long de la frontière entre le Tchad et la Libye.
En effet, le 28 juin, les corps de 18 personnes auraient été retrouvés près de la frontière entre la Libye et le Tchad.
Les services d’ambulance et d’urgence libyens révèlent que le groupe serait mort de déshydratation.
»La mort de vingt personnes dans le désert libyen est un nouveau signal d’alarme pour l’ensemble de la communauté internationale et un rappel que nous sommes très loin d’atteindre l’objectif de ne laisser personne derrière, le mantra de l’Agenda 2030. Les pertes de vies humaines auxquelles nous assistons en mer Méditerranée et dans les déserts du sud de la Libye sont à la fois inacceptables et évitables », a indiqué Federico Soda, Chef de mission de l’Oim en Libye.
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