Ethiopie: deux représentantes des Nations unies à Addis Abeba sanctionnées par leur administration
Meguetan Infos
L’ONU rappelle une deuxième responsable en Ethiopie en deux jours. Après avoir rappelé lundi la cheffe de mission de son Organisation internationale des migrations, les Nations Unies ont demandé à la responsable de son Fonds pour la population de venir à New York. Tout cela quelques jours après que l’enregistrement d’un entretien de ces deux femmes avec un auteur proche d’Addis Abeba a été rendu public sur internet.
Difficile de savoir si Maureen Achieng et Dennia Gayle savaient que leur conversation allait être rendue publique, et acceptaient de servir de sources officielles. Lors de leur entretien avec Jeff Pearce, un écrivain défendant la conduite de la guerre contre le TPLF, le Front de libération du peuple du Tigré, par Addis Abeba, elles ont décrypté pour lui les dynamiques en cours entre les agences onusiennes locales, et les équipes dépêchées de New York.
Elles-mêmes, respectivement cheffe de mission de l’Organisation internationale des migrations et représentante du Fonds des Nations Unies pour la population, ont confié que les collègues envoyés par le siège ne communiquaient pas avec les responsables de l’ONU à Addis Abeba. D’autre part, elles ont présenté certains supérieurs comme favorables au TPLF.
Difficile de savoir si Maureen Achieng et Dennia Gayle savaient que leur conversation allait être rendue publique, et acceptaient de servir de sources officielles. Lors de leur entretien avec Jeff Pearce, un écrivain défendant la conduite de la guerre contre le TPLF, le Front de libération du peuple du Tigré, par Addis Abeba, elles ont décrypté pour lui les dynamiques en cours entre les agences onusiennes locales, et les équipes dépêchées de New York.
Elles-mêmes, respectivement cheffe de mission de l’Organisation internationale des migrations et représentante du Fonds des Nations Unies pour la population, ont confié que les collègues envoyés par le siège ne communiquaient pas avec les responsables de l’ONU à Addis Abeba. D’autre part, elles ont présenté certains supérieurs comme favorables au TPLF.
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