Disparition du journaliste Birama Touré: Les ragots du journal français, L’Express
De plus en plus, le journal français, L’Express, s’intéresse au Mali. Malheureusement dans le sens du mal et de la désinformation dans la recherché du Scoop. En effet ce journal essaie d’attaquer le pouvoir, sur la base des mensonges, des ragots, racontés dans les grins de Bamako. C’est ainsi que récemment, il a rapporté que le Premier ministre, Soumeylou Boubèye Maiga, avait communiqué avec les assassins des journalistes français, Gislain Dupont et Claude Verlon, quelques minutes avant leur rapt, qui a précédé leur assassinat. Un mensonge grossier et grotesque. Ce journal déjà peu crédible dans l’Hexagone, semble toujours se complaire dans l’à peu près. Sans investiguer, il prend comme de l’argent comptant les méchancetés que les opposants du régime lui dictent. Sans discernement, s’il vous plaît.
La nouvelle trouvaille du journal L’Express est l’affaire du journaliste, Birama Touré, disparu depuis janvier 2016.
Le journaliste Vincent Hugeux, très léger dans l’article, tente d’incriminer Karim Keita, sans y parvenir. Il ne donne aucun élément, se base sur des rumeurs, des ragots de la médisance, distillés par çi par là dans les milieux de l’opposition malienne et en se référant sur un journal de l’opposition qui avait diffamé, en pleine campagne électorale au compte des opposants.
Ce que ce journaliste ignore, c’est que Birama Touré n’était plus journaliste, au moment des faits. Il était en chômage. Ensuite, c’est un illustre inconnu dans le domaine de la presse malienne. Il n’a jamais écrit un article contre les tenants du pouvoir. Il n’est pas un journaliste d’investigation, donc inoffensif. Birama Touré est un journaliste qui brillait dans les compte- rendus.
Effacé, l’homme n’est pas un homme de dossiers, ni un journaliste d’investigation, qui peut faire peur ou faire trembler certains.
Birama Touré qui devait consommer un mariage, à 50 ans révolus, a disparu pour autres choses et non pour un contentieux avec des hommes politiques ou un proche du pouvoir, en l’occurrence Karim Keïta.
Nous défions quiconque de nous prouver un article de Birama Touré dénonçant l’honorable Keïta. Cela n’existe pas.
L’article de L’Express relève d’une cabale, planifiée pour nuire au président IBK, à travers son fils. C’est bien du mensonge, de la méchanceté politicienne pour tenter de ternir également l’image du Mali et de ses dirigeants.
Le directeur du journal Sphinx, Adama Dramé, ancien patron de Birama Touré, affilié à l’opposition radicale, est peint comme étant l’informateur du journal Express. Il a fui Bamako pour aller s’installer à Paris où il ne cesse de démarcher les rédactions pour diffamer le Mali et ses dirigeants. LExpress est malheureusement le seul organe qui a accepté collaborer pour publier des ragots. C’est ainsi qu’il s’est spécialisé en attaques gratuites contre le régime. Il peut continuer ses torchons, lesquels ne convainquent personne. Ni en France, encore moins au Mali, en dehors des esprits méchants.
L’Express peut continuer ses médisances, sans oublier, comme on le dit, que le chien aboie la caravane passe. Vivement donc, les prochaines contrevérités, j’allais dire diffamation.
En attendant l’Express gagnerait mieux à balayer plutôt devant sa porte et nous expliquer les tenants et les aboutissants de la grogne des Gilets jaunes qui font trembler aujourd’hui la France?
Issaka Kola