Du 9 janvier 2022 au 9 mars 2022, cela fait 2 mois que les chefs d’État de la Communauté économique des Etat de l’Afrique de l’Ouest (Cédéao), ont entériné les sanctions ‘’illégales et illégitimes’’ contre le Mali du fait de la proposition du chronogramme de 5 années.
Malgré les mesures illégales et illégitimes infligées par les chefs de l’organisation sous régionale contre Mali depuis le 9 janvier dernier, les autorités maliennes de la transition se sont montrées compétentes pour répondre aux défis auxquels le pays est confronté. Et cela, par les moyens diplomatiques.
Quelques semaines après les sanctions contre le pays, les autorités ont tissé de nouvelles relations diplomatiques avec la Guinée Conakry et la Mauritanie pour contourner les sanctions. Un adage dit : « La maison n’est belle que lorsque chacun y reconnaît sa part de labeur ». C’est dans ce sens que le peuple malien s’est aligné derrière les autorités de la transition pour leur apporter son soutien indéfectible afin d’atteindre le but cherché qui est la stabilité sur l’ensemble du territoire national.
Aujourd’hui, l’espoir est permis, au vu des résultats depuis la rectification de la transition, notamment la montée en puissance des FAMa. Seule l’union fait la force et c’est cette preuve que le peuple malien a montrée dans cette lutte pour la refondation du Mali.
Le peuple doit rester uni et solide derrière les autorités de la transition, car l’ennemi œuvre, jour et nuit, pour remettre les efforts en cause. Pour preuve ? De fausses accusations à l’encontre des forces armées maliennes dans l’affaire de la disparition des ressortissants mauritaniens. Ce sont des allégations sans fondement, planifiées par l’ennemi pour mettre un terme aux relations entre les deux pays afin de pouvoir isoler le Mali.
Grâce à la bonne volonté des autorités des deux pays, un compromis a été trouvé. Il s’agit de la création d’une commission mixte d’enquête composée de Maliens et de Mauritaniens pour faire la lumière sur l’affaire sur ces crimes. Le Mali a besoin aujourd’hui de tous ses fils et de toutes ses filles pour la refondation.
Siriki KONE
L’Alerte