Déclaration de L’Internationale démocrate après le soulèvement populaire au Mali
(Mouila, le 27 août 2020)
L’Internationale démocrate, le 15 septembre 2001, comme le M5-RFP (Rassemblement des Forces Patriotiques), le 5 juin 2020, a répondu à l’appel du Mali.
L’Internationale démocrate, ONG d’initiative africaine, n’est donc pas au Mali comme « un cheveu sur la soupe » et cette association de défense des droits humains ne peut qu’être aux côtés du peuple malien.
L’Internationale démocrate rend hommage au peuple malien souverain qui lui permet aujourd’hui de changer la société. Par la volonté de Dieu (A Lui la gloire), le TOUT-PUISSANT : le soulèvement populaire au Mali, parachevé par les militaires (le 18 août 2020), les dignes héritiers du combattant Soundjata Keita (fondateur de l’Empire du Mali), n’est pas un fait du hasard !
Dans le Manifeste contre la guerre, que propose L’Internationale démocrate, cette association ne dénie pas à un peuple le droit de défendre sa souveraineté.
L’Internationale démocrate salue le patriotisme de l’ancien président, Monsieur Ibrahim Boubacar Keïta, qui a renoncé à un retour aux affaires.
Il est possible maintenant de changer la société après les manifestations des « Gilets jaunes » (en France), les manifestations (pacifiques) dans le monde pour le changement, le soulèvement populaire au Mali (avant la prochaine présidentielle aux Etats-Unis).
La pandémie de coronavirus a mis à genoux les puissants. « Tout genou fléchira ». Après, il faudrait « inventer de nouvelles solidarités » (Emmanuel Macron) : la Police de secours « George Floyd » (10.000 emplois au moins au Mali), projet emblématique de L’Internationale démocrate, est le fer de lance de cette association pour le changement en Afrique et dans le monde.
Il est possible maintenant de changer la société avec L’Internationale démocrate, invention africaine pour l’humanité : « L’avenir de l’Afrique (et du monde) se joue aujourd’hui au Mali ». L’Afrique (après la Traite des Noirs, la colonisation, l’Apartheid, le génocide rwandais…) ne doit ni faillir ni faiblir.
Le temps de l’action est venu (après la réflexion pendant de longues années) pour changer la société : Monsieur Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou, juge gabonais (il est sans poste (et sans salaire) depuis 10 ans), ancien exilé (il a été en exil au Cameroun, pendant 7 ans, après la présidentielle contestée de 2009 au Gabon), militant africain des droits humains, fondateur de L’Internationale démocrate (…), disciple du prix Nobel de la paix 1964, pasteur Martin Luther King (…), n’a ni failli ni faibli jusqu’à la grande victoire du 18 août 2020 au Mali.
Monsieur Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou, fondateur de L’Internationale démocrate, père du Manifeste contre la guerre (…), initiateur de la Police de secours, initiateur du projet agricole pilote (…), est aussi initiateur du projet de chaîne de télévision « Le Juste » à Jérusalem, la ville sainte (Esaïe 66), initiateur du cercle de réflexion « America is all of us » (L’Amérique c’est Nous tous).
La grande victoire, le 18 août 2020, 60 ans après les indépendances (Monsieur Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou a 60 ans aussi), a été remportée (selon le Plan de Dieu) 24 heures après le 17 août, date anniversaire de l’indépendance du Gabon. Toute chose a un début et une fin.
« L’avenir de l’Afrique (et du monde) se joue aujourd’hui au Mali », car le Mali (selon le Plan de Dieu) est le berceau de L’Internationale démocrate, ONG dont l’objectif est d’œuvrer à la préservation de la paix sociale par :
1- la promotion du dialogue inter-religieux, de la culture de la tolérance par la sensibilisation des populations à la nécessité de respecter le droit à la différence ;
2- la lutte contre la pauvreté ou l’exclusion sociale par la satisfaction des besoins fondamentaux des populations, des besoins essentiels de l’être humain pour lequel il est vital de « se nourrir, se loger, se soigner, s’éduquer, s’éclairer, se vêtir ».
Cette association a l’ambition de réunir, dans au moins deux pays, les forces de mobilisation des populations dans les sociétés démocratiques modernes, à savoir les religieux, les syndicalistes, les femmes et hommes politiques et les personnes physiques sans étiquette ou d’horizons divers, désireuses de promouvoir la liberté et la justice.
L’Internationale démocrate est au service des peuples, avec des initiatives pour la paix et le développement :
– le Manifeste contre la guerre : « La guerre est un fléau, le plus grand malheur qui puisse arriver à un peuple, qui n’a pourtant besoin que de deux choses essentielles pour « vivre, vivre libre » : le respect de la différence et la satisfaction de ses besoins fondamentaux » ;
– la Police de secours, contribution à la prévention de la violence en milieu urbain et à la lutte contre le chômage des jeunes dans les pays pauvres comme dans les pays riches ;
– le projet agricole pilote au bénéfice des associations de jeunes agriculteurs en Afrique, en Amérique latine, en Asie (…).
Dans un courrier à différents dirigeants et leaders d’opinion, L’Internationale démocrate a formé le vœu de pouvoir présenter à Son Altesse Cheikh Tamim ben Hamad Al Thani, Emir du Qatar, en présence d’un expert, ce projet agricole pilote. Avant l’organisation d’une conférence des donateurs, à New York, sous l’impulsion de Monsieur le Secrétaire Général des Nations Unies.
La communauté internationale devrait œuvrer résolument, en 2021, à la réalisation de ce projet agricole pilote (un site agricole par région, province ou Etat fédéré). Elle déclarerait « 2021 : Année de l’habitat rural moderne et du jeune agriculteur dans le monde ».
Des milliers de jeunes, dans les « villages agricoles modernes », pourront s’installer confortablement en milieu rural comme en Europe.
Monsieur Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou avait soutenu le projet d’Internationale démocrate dans la conclusion du livre « L’Islam au Gabon » (paru en 1995), après avoir été interpellé par la situation sociopolitique qui prévalait en Algérie, en Afrique au sud du Sahara et dans les Balkans.
Il s’était interrogé sur les causes profondes de la violence politique (l’intolérance et la pauvreté ou l’exclusion sociale) et les solutions à ce problème (la promotion du dialogue inter-religieux, de la culture de la tolérance et la lutte contre la pauvreté ou l’exclusion sociale).
Le temps de l’action est venu (après la réflexion pendant de longues années) pour changer la société.
Après avoir répondu à l’appel du Mali, le 15 septembre 2001, L’Internationale démocrate sollicite qu’il plaise à l’imam Mahmoud Dicko (il a été clair sur RFI-Matin le 18 août 2020), autorité morale du M5-RFP, et au comité stratégique de ce mouvement de libération, de bien vouloir soumettre solennellement au Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP) l’avant-projet de loi portant création, organisation et fonctionnement de la Police de secours (malijet.com du 14 août 2020), avec un Fonds national d’appui à la Police de secours (FNAPS), un Fonds national d’assistance médicale (FNAM) et un Fonds national pour les situations d’urgence (FNSU).
Le FNAPS (pour la rémunération de l’agent de police), le FNAM et le FNSU sont alimentés principalement par les contributions des citoyens (civils et militaires) qui auront à cœur d’assurer la gestion de ces Fonds, dans la transparence, par l’entremise des syndicats des travailleurs et des patrons, des sections de L’Internationale démocrate et des représentants de l’Etat.
Les membres des familles des martyrs de la liberté au Mali (les jeunes aux mains nues tués lors des manifestations du M5-RFP) devraient (prioritairement) être incorporés dans la Police de secours.
La formation de base (Formation commune de base (FCB), Secours, Education civique…) durerait 45 jours. La formation continue (Secours, Education civique (…), Auto-école, Assistance médicale, Action sur le terrain (situations d’urgence), prévention de la violence en milieu urbain…) durerait un (1) an.
La Police de secours n’est ni une Police de proximité ni un Service civique, mais elle se nourrit de ces deux inventions pour être une autre invention, une invention africaine pour l’humanité, une Police du peuple, une Police pour le secours, dans les quartiers difficiles, avec nos enfants, des agents de police (des citoyens formés par la Police nationale et engagés dans la sauvegarde de la sécurité collective, la défense des droits humains et de la démocratie), les jeunes en quête d’un premier emploi, une Police pour le secours, une Police rendue nécessaire avec la crise sanitaire ou la pandémie de coronavirus (covid-19) qui a conduit les sociétés à « inventer de nouvelles solidarités » (Emmanuel Macron) et après le meurtre de l’Afro-Américain George Floyd commis, aux Etats-Unis, par un agent de police.
La Police de secours est le sang nouveau qui doit irriguer la Police nationale sans laquelle il n’y a pas de vie dans la cité, la Police nationale qui est chargée d’assurer la sécurité des personnes et des biens.
L’Internationale démocrate sollicite également qu’il plaise à Monsieur Choguel Kokalla Maïga, président du comité stratégique du M5-RFP, et à deux autres membres éminents de ce comité, Monsieur Cheick Oumar Sissoko et Maître Mountaga Tall de bien vouloir lancer un appel à la mobilisation de la jeunesse malienne (à Kidal et dans les autres régions du Mali) pour son adhésion totale à L’Internationale démocrate, avec le Manifeste contre la guerre, la Police de secours « George Floyd » (10.000 emplois au moins) et le projet agricole pilote (un site agricole dans chacune des régions du Mali).
Monsieur Choguel Kokalla Maïga est le président du comité stratégique du M5-RFP. Ce n’est pas un fait du hasard ! Il est aussi l’homme politique malien qui avait bien voulu accepter de recevoir, en septembre 2001, à son domicile de Bakodjikoroni, le fondateur de L’Internationale démocrate.
Docteur Choguel Kokalla Maïga, Monsieur Cheick Oumar Sissoko, Maître Mountaga Tall (…) sont des combattants de la liberté : le combat politique n’est pas un jeu d’enfant.
Monsieur Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou a été en relation avec Monsieur Cheick Oumar Sissoko, son « grand frère », par téléphone et courrier électronique, avant le 18 août 2020.
Monsieur Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou a établi un contact (par téléphone et courrier électronique) avec Maître Mountaga Tall le 19 août 2020 et ses SMS au M5-RFP sur la Police de secours (…) ont été envoyés à l’adresse de Maître Mountaga Tall, Avocat.
Monsieur Choguel Kokalla Maïga, Monsieur Cheick Oumar Sissoko et Maître Mountaga Tall ont été saisis par L’Internationale démocrate pour préparer sur place, en relation avec l’Ambassade des Etats-Unis, une mission à Washington, en septembre 2020, pour le baptême de la Police de secours « George Floyd » par Madame Nancy Pelosi, président de la Chambre des Représentants, en présence de la famille du défunt.
Il devrait donc être compris que la Police de secours « George Floyd », comme le projet agricole pilote, au Mali, est aussi l’œuvre de l’imam Mahmoud Dicko (autorité morale du M5-RFP), de Monsieur Choguel Kokalla Maiga, de Monsieur Cheick Oumar Sissoko, de Maître Mountaga Tall (…), des membres du comité stratégique du M5-RFP, des membres du Comité National pour le Salut du Peuple (CNSP).
L’Internationale démocrate forme le vœu ardent que le vote de la loi sur la Police de secours intervienne le 30 septembre 2020 au plus tard !
Par ailleurs, il conviendrait d’indiquer qu’il plairait à Monsieur Soumaïla Cissé, chef de file de l’ancienne opposition, encore retenu en otage, de désigner le président de la section nationale, au Mali, de L’Internationale démocrate, le co-président devant être désigné par un leader de l’ancienne majorité présidentielle, conformément à l’esprit de l’article 70 de la charte de cette association (malijet.com du 5 juin 2020, du 25 juillet 2020, du 10 août 2020 et du 14 août 2020).
Le supplice du président Soumaïla Cissé, ne peut pas, ne doit pas durer. La guerre au Mali doit prendre fin.
Il conviendrait donc de saisir la communauté internationale, avec le concours de Madame Angela Merkel, chancelière d’Allemagne, président en exercice de l’Union européenne, pour faire adopter, prioritairement, par la prochaine Assemblée générale des Nations Unies, un projet qui accompagne le Manifeste contre la guerre, à savoir le projet de résolution contre « l’assassinat politique, l’attentat terroriste et l’agression extérieure ».
La signature du Manifeste contre la guerre, notamment par les acteurs politiques et les groupes armés au Sahel, comme dans d’autres régions du monde, permettrait de délivrer un message clair contre la guerre et en faveur du respect des droits humains, de la tolérance et de la lutte contre la pauvreté ou l’exclusion sociale.
Dès lors, toute violation du Manifeste contre la guerre exposerait ses auteurs à des sanctions ciblées.
L’Internationale démocrate, qui propose le Manifeste contre la guerre, soutient que la démocratie ne s’épanouit que dans une société qui a banni la guerre et avec elle la dictature. L’Occident est aujourd’hui une démocratie parce que justement la guerre a été bannie sur ses terres.
Cette association soutient également que la paix au Proche-Orient conditionne largement la sécurité internationale et la paix dans le monde.
La signature du Manifeste pour la paix, par un dictateur, est sans conséquence, alors que la signature du Manifeste contre la guerre l’empêche d’utiliser les armes contre le peuple.
Les chefs d’Etat ou de Gouvernement et les leaders de l’opposition devraient pouvoir signer (sans tarder) le Manifeste contre la guerre, en présence des représentants des Nations Unies.
La protection des populations civiles contre l’oppression serait plus efficace, avec les sanctions ciblées (par exemple) contre les criminels (au pouvoir ou dans une rébellion).
La signature du Manifeste contre la guerre devrait être l’expression de la volonté des peuples et de leurs dirigeants de se pencher (efficacement) sur les situations d’urgence, de construire des logements décents pour les civils et les militaires (…), de relever les défis majeurs (l’industrie de transformation et l’alternance au pouvoir), avec le leadership des Etats-Unis, comme le préconise le cercle de réflexion « America is all of us » (L’Amérique c’est Nous tous), et de construire un autre monde, « un monde pacifique et ouvert au dialogue » comme l’avait écrit Monsieur Jacques Chirac, alors président de la République française, dans sa lettre d’encouragement au fondateur de L’Internationale démocrate.
Le logement décent (avec l’eau et l’électricité) conditionne largement la satisfaction des besoins essentiels de l’être humain.
Un citoyen qui touche un salaire, tous les mois, sans pouvoir construire ou acquérir un logement décent (en ville ou au village), ne peut qu’être malheureux à la fin de sa vie professionnelle.
Aujourd’hui, devant la guerre asymétrique, les Etats-Unis ont envisagé des négociations avec les Talibans (en Afghanistan) pour un cessez-le-feu.
La signature du Manifeste contre la guerre, par l’Iran et Israël, montrerait la voie. La guerre au Yémen, pays arabe le plus pauvre, doit prendre fin. « Plus jamais de génocide » !
La signature du Manifeste contre la guerre, par l’Iran et Israël, montrerait la voie par la volonté de Dieu. A Lui la gloire :
– « Je ne donnerai pas ma gloire à un autre » (Esaïe 42 : 8) et « Tout genou fléchira devant Moi » (Esaïe 45 : 23) ;
– « Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire les uns des autres et qui ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul ?» (Jean 5 : 44) ;
– « Ce qui est dans les cieux et ce qui est sur la terre glorifient Dieu, le Souverain, le Pur, le Puissant, le Sage » (le Coran 62 : 1) ;
– « … Une nation ne tirera plus l’épée contre une autre, et l’on n’apprendra plus la guerre » (Esaïe 2 : 4) ;
– « Et s’ils inclinent à la paix, incline vers celle-ci (toi aussi) et place ta confiance en Dieu, car c’est Lui l’Audient, l’Omniscient » (le Coran 8 : 61) ;
– « Dites : « Nous avons cru en Dieu, en ce qui nous a été descendu (le Coran), en ce qui a été descendu à Abraham, à Ismaël, à Jacob, aux chefs des douze tribus d’Israël et à leur descendance, en ce qu’ont reçu Moïse et Jésus et en ce qu’ont reçu les prophètes de leur Seigneur.
Nous ne faisons entre eux aucune discrimination et nous Lui sommes entièrement soumis (musulmans) » (le Coran 2 : 136) ;
– «… Concurrencez donc dans les bonnes œuvres. C’est vers Dieu qu’est votre retour à tous ; alors Il vous informera de ce en quoi vous divergiez » (le Coran 5 : 48).
L’Internationale démocrate n’est pas au Mali, aux Etats-Unis et dans le monde comme « un cheveu sur la soupe » : « Dieu est le Maître des temps et des circonstances ».
Il est établi que L’Internationale démocrate est née le 15 septembre 2001 à Bamako, au Mali, et en 2007, les Nations Unies ont déclaré le 15 septembre « Journée internationale de la démocratie » : « Dieu est le Maître des temps et des circonstances ».
Il est aussi établi que des hommes d’Etat avaient adressé des lettres d’encouragement au fondateur de L’Internationale démocrate : Sa Majesté Hassan II, Monsieur Jacques Chirac, Monsieur Jean Chrétien, Monsieur Nicéphore Dieudonné Soglo, Maître Abdoulaye Wade, Monsieur Mohammed Khatami, Monsieur Barack Obama (…).
Avant de terminer, L’Internationale démocrate, qui vient d’apprendre que le Conseil permanent de la francophonie (CPF) a décidé de prononcer la suspension de la République du Mali de la francophonie, après le soulèvement populaire, porte à la connaissance de l’opinion internationale qu’elle a décidé de signer des accords de coopération avec des associations plus anciennes (Amnesty International, Human Rights Watch…) et que L’Internationale démocrate (avec L’ majuscule) comme Amnesty International n’est pas à traduire : L’Internationale démocrate, au Mali, après le soulèvement populaire, est aussi au service de la francophonie et donc aux côtés du CPF qui doit pouvoir lever ses sanctions.
Le temps de l’action est venu (après la réflexion pendant de longues années) pour changer la société.
Enfin, L’Internationale démocrate rappelle que la Police de secours « George Floyd » est son projet emblématique : l’action pour la jeunesse malienne, c’est maintenant ! L’action pour changer la société, c’est maintenant !
Ibrahim Bignoumbe-Bi-Moussavou
Source: L’Internationale démocrate
Juge gabonais, ancien exilé, militant africain des droits humains, fondateur de L’Internationale démocrate, coordinateur général, initiateur de la Police de secours, père du Manifeste contre la guerre, disciple du prix Nobel de la paix 1964, pasteur Martin Luther King