Abus de pouvoir et tentative d’extorsion de bien d’autrui : Mahadi Traoré victime d’escroquerie d’un chinois
Cette affaire qui défraye la chronique en commune VI est un scandale qui se passe de tout commentaire. Un chinois du nom de Liu Chuanyi en complicité avec un colonel de la gendarmerie serait de tous les moyens pour occuper allègrement un immeuble de trois étages, propriété de M Mahadi Traoré.
Les faits
M. Mahadi TRAORE est propriétaire d’un immeuble de Trois Etage à Niamakoro sur la route de l’aéroport construit par ses soins sur fonds propre. Le Titre de propriété est régit en commune VI.
L’immeuble est es composé de Rez de chaussé (RDC) avec 7 Chambres + annexe + dépendance ; 1erEtage avec 6 chambres + annexe et réduits ; 2ème Etage avec 6 chambres + annexe et réduits, 3ème Etage avec 6 chambres + annexe et réduits
Après la réception de l’Immeuble flambant, Liu CHUANYI, a vite contacté le propriétaire pour établir un contrat de bail de trois ans afin d’en faire un Hôtel. Sans se poser des questions, M Traoré signe le contrat qui couvre la période du 1er /03 /2013 au 26 /09/2017.
Il n’en fallait pas!
Lorsque le contrat est arrivé à terme, le propriétaire a informé M. Liu Chuanyi à travers un préavis pour un non renouvellement du contrat de bail.
Le chinois qui a pris goût à l’immeuble dans lequel il mène ses affaires, oppose un niet catégorique à la décision du propriétaire. Pire, Lui CHUANYI poursuit M. Traoré au tribunal pour le renouvellement du contrat et de le réintégré à l’immeuble immédiatement sous astreinte. Pour ce besoin, un huissier est commis d’office pour réintégrer Liu CHUANYI dans les locaux de M Traoré sans son accord. Pour la circonstance, un Faux nouveau Contrat imitation de signature est établi pour la réintégration du chinois.
Selon toujours la version du propriétaire, le procureur DOUMBIA et les avocats de Liu CHUANYI ont remonté le dossier au tribunal de commerce auprès d’un juge d’instruction sous astreinte de payer 400 000F par jour en cas de refus de réintégration de Liu CHUANYI.
Le paradoxe est que Mahadi Traoré témoigne qu’il n’a pas signé un nouveau contrat et il se dit être abusé par des escrocs.
Le directeur de la gendarme saisi, selon Mahadi Traoré, envoie un escadron pour les déloger de l’immeuble. Ensuite le 11 ème a été saisi par Mahadi Traoré pour vider son local afin de jouir de son droit.
Malgré tout, un juge d’instruction du tribunal de commerce a pris une ordonnance de référé sous astreinte contre M. Mahadi Traoré pour une sommes de 126 .000 .000F CFA.
Nos tentatives de joindre le chinois Liu CHUANYI, qui serait en dehors du Mali présentement, sont restées vaines.
Qui veut donc déposséder M. Traoré de son immeuble au profit du chinois ?
En tout état de cause, face au faux et usage de faux pour l’obliger M. Mahadi Traoré n’est pas prêt à gobé cette escroquerie.
mali24