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Aïssata Traoré : «TOUT VA BIEN EN TURQUIE, JE FAIS MON BOULOT»
Dans une interview qu’elle a bien voulu nous accorder après le match contre le Maroc, l’attaquante des Aigles Dames, revient sur son transfert au Besiktas et parle de sa nouvelle vie en Turquie
L’Essor : Comment ça se passe en Turquie ?
Aïssata Traoré : Dieu merci ça se passe très bien. Je n’ai rencontré aucune difficulté là-bas, mes coéquipières, le coach, les dirigeants du club tous m’ont accueillie à bras ouvert et me font confiance. Je fais mon boulot là-bas et je vais continuer à donner le meilleur de moi même pour permettre à l’équipe d’aller de l’avant.
L’Essor : Racontez-nous comment vous avez été accueillie par les supporters du club et vos coéquipières ?
Aïssata Traoré : J’ai été très bien accueillie, les dirigeants du club me suivaient depuis la CAN. Ils ont été séduits par mes performances en sélection nationale (elle a marqué le premier but du Mali à la phase finale de la dernière CAN-féminine et a été l’une des joueuses les plus en vue des Aigles Dames, ndlr). A Besiktas, je ne suis pas nostalgique, le courant passe très bien entre moi et mes coéquipières. C’est comme si je suis en famille.
L’Essor : Est-ce que les Turcs connaissent le football malien ?
Aïssata Traoré : Les Turcs connaissent un peu le football malien, parce qu’il y a des joueurs de notre pays dans le championnat local. En fait, depuis la Coupe du monde junior 2013 qui s’est déroulée en Turquie et à laquelle le Mali a participé, les Turcs suivent l’évolution de notre football. Aujourd’hui, je puis vous assurer que plusieurs clubs du pays envisagent d’engager des Maliennes.
L’Essor : Revenons au match contre le Maroc. Quels commentaires vous inspire ce large succès de la sélection ?
Aïssata Traoré : Je suis très contente comme toutes les autres joueuses. Après la victoire, c’est toujours la fête. Mais nous ne sommes pas encore qualifiées et dès notre arrivée à Kabala, la fête prendra fin et il faudra se concentrer sur le match. Déjà nous sommes toutes conscientes que cette manche retour ne sera pas facile. Les Marocaines vont jouer devant leur public. On a 2 buts d’avance, nous allons tout mettre en œuvre pour décrocher le ticket qualificatif pour le prochain tour.
L’Essor : êtes-vous optimistes pour la suite des événements, c’est à dire la qualification pour les J.O ?
Aïssata Traoré : Je suis optimiste, on a rien à perdre, la peur a changé de camp et nous allons donner le meilleur de nous mêmes et finir le travail au Maroc. On va essayer de jouer notre football et profiter des failles qu’elles vont laisser. Si on se qualifie, c’est la Côte d’Ivoire que nous allons rencontrée. C’est une équipe expérimentée, que nous connaissons très bien. Mais pour le moment, on se concentre sur le Maroc, il ne faut pas brûler les étapes.
Aïssata Traoré : Dieu merci ça se passe très bien. Je n’ai rencontré aucune difficulté là-bas, mes coéquipières, le coach, les dirigeants du club tous m’ont accueillie à bras ouvert et me font confiance. Je fais mon boulot là-bas et je vais continuer à donner le meilleur de moi même pour permettre à l’équipe d’aller de l’avant.
L’Essor : Racontez-nous comment vous avez été accueillie par les supporters du club et vos coéquipières ?
Aïssata Traoré : J’ai été très bien accueillie, les dirigeants du club me suivaient depuis la CAN. Ils ont été séduits par mes performances en sélection nationale (elle a marqué le premier but du Mali à la phase finale de la dernière CAN-féminine et a été l’une des joueuses les plus en vue des Aigles Dames, ndlr). A Besiktas, je ne suis pas nostalgique, le courant passe très bien entre moi et mes coéquipières. C’est comme si je suis en famille.
L’Essor : Est-ce que les Turcs connaissent le football malien ?
Aïssata Traoré : Les Turcs connaissent un peu le football malien, parce qu’il y a des joueurs de notre pays dans le championnat local. En fait, depuis la Coupe du monde junior 2013 qui s’est déroulée en Turquie et à laquelle le Mali a participé, les Turcs suivent l’évolution de notre football. Aujourd’hui, je puis vous assurer que plusieurs clubs du pays envisagent d’engager des Maliennes.
L’Essor : Revenons au match contre le Maroc. Quels commentaires vous inspire ce large succès de la sélection ?
Aïssata Traoré : Je suis très contente comme toutes les autres joueuses. Après la victoire, c’est toujours la fête. Mais nous ne sommes pas encore qualifiées et dès notre arrivée à Kabala, la fête prendra fin et il faudra se concentrer sur le match. Déjà nous sommes toutes conscientes que cette manche retour ne sera pas facile. Les Marocaines vont jouer devant leur public. On a 2 buts d’avance, nous allons tout mettre en œuvre pour décrocher le ticket qualificatif pour le prochain tour.
L’Essor : êtes-vous optimistes pour la suite des événements, c’est à dire la qualification pour les J.O ?
Aïssata Traoré : Je suis optimiste, on a rien à perdre, la peur a changé de camp et nous allons donner le meilleur de nous mêmes et finir le travail au Maroc. On va essayer de jouer notre football et profiter des failles qu’elles vont laisser. Si on se qualifie, c’est la Côte d’Ivoire que nous allons rencontrée. C’est une équipe expérimentée, que nous connaissons très bien. Mais pour le moment, on se concentre sur le Maroc, il ne faut pas brûler les étapes.
Propos recueillis par Seïbou S. KAMISSOKO
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